La caractéristique principale du cèdre rouge, sa durabilité naturelle, permet de préserver des exemples de culture indigène depuis plus de 100 ans.
Les aborigènes de la Côte Pacifique en Colombie Britannique Le cèdre rouge est un bois dont l’utilisation par les Indiens d’Amérique. C’est eux qui ont été les premiers à le nommer « L’Arbre de Vie », remonte à plusieurs siècles.
Les premières utilisations de l’écorce et des bûches du cèdre rouge Le long de la Côte Pacifique de la Colombie Britannique, les aborigènes utilisent l’écorce de cèdre rouge pour fabriquer des cordes, des vêtements et des paniers depuis des millénaires. Les bûches servent à fabriquer des quantités de choses, dont les canoës, les totems, les masques et les maisons longues. Les Indiens d’Amérique retiraient aussi des grandes plaques d’écorce extérieure des arbres vivants pour fabriquer des matériaux de toiture ou ils découpaient un trou rectangulaire dans un arbre pour tester sa solidité avant de le couper pour fabriquer un canoë ou un totem.
Travailler ensemble à préserver le patrimoine On appelle les arbres qui ont été scarifiés dans le cadre de l’activité culturelle d’une Première Nation des arbres culturellement modifiés. Les arbres modifiés d’avant 1846 sont considérés comme des sites archéologiques et sont protégés par la Loi sur la Conservation du Patrimoine. Les compagnies forestières prennent souvent des mesures pour aider les Premières Nations à obtenir des bûches de cèdre rouge ou d’autres espèces quand elles recherchent des utilisations traditionnelles ou culturelles de ce bois.